Pourquoi manger BioLocal?

Pour améliorer la qualité alimentaire, redonner du sens à la saisonnalité des produits, et répondre à des enjeux de santé publique : L’agriculture biologique propose des produits frais, sans colorants, ni conservateurs de synthèse et autres composants chimiques.

Pour participer concrètement à la préservation de l’environnement et contribuer à protéger l’eau, l’air, les sols et la biodiversité de votre région.

Pour développer et revaloriser l’économie locale : L’agriculture bio emploi environ 30 % de main d’oeuvre supplémentaire par rapport à l’agriculture conventionnelle.

Choisir des produits bio locaux pour votre restaurant collectif, c’est engager une démarche concrète de développement durable !

 

Le label bio renvoie à un mode de production agricole qui n’a recours, ni aux engrais et pesticides de synthèse, ni aux OGM. Ce mode de production nourrit les processus biologiques naturels des sols, des plantes, et des bêtes, pour favoriser leur fonctionnement, croissance, reproduction et résistance naturelle aux maladies ou parasites. Il est codifié dans des cahiers des charges que les producteurs s’engagent à appliquer. Les producteurs sont contrôlés régulièrement par des organismes indépendants, pour pouvoir prétendre au label « agriculture biologique » (AB) après une période de conversion de 2 à 3 ans.

 LOGO AB

Un produit issu de l’agriculture biologique a une histoire particulière : Sa production s’est effectuée dans une recherche constante d’équilibre entre des considérations écologiques, éthiques et économiques.

Manger bio local, c’est idéal !
L’empreinte écologique d’un aliment intègre, outre son mode de production, des notions de transport, d’emballage, de coût énergétique de sa transformation et de sa conservation. 

Manger bio en collectivité est loin d’être anecdotique pour notre santé, comme pour l’environnement : La restauration collective représente près d’un repas sur dix en moyenne en France. Choisir des approvisionnements bio en collectivité est donc un moyen d’agir avec une portée démultipliée par le collectif.

Il faut adapter l’offre et la demande des collectivités et des producteurs locaux, pour aller vers un volume et une fréquence significative des approvisionnements et dépasser la simple action symbolique, nécessaire mais pas suffisante.